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Société

Les Japonaises sont-elles plus sensibles à l’argent ou au physique des hommes ?

Les Japonaises sont-elles plus sensibles à l’argent ou au physique des hommes ?

Au Japon, le magazine de mode AneCan a récemment posé à ses lectrices la question suivante : « Entre un homme laid et riche ou un homme beau mais sans emploi, lequel choisiriez-vous pour être votre petit ami ? ».

 

Cette question, qui fut posée à 1000 lectrices, fait partie d’une nouvelle chronique intitulée « Lequel choisiriez-vous ? » publié dans l’édition du mois de Mars du magazine.

Pour cette première question, AneCan a demandé à ses lectrices si elles préféraient avoir comme petit ami, un homme très laid ayant un revenu annuel de 300 millions de yens (2.2 millions d’euros) ou un bel homme au chômage.

L’homme laid étant désigné plus précisément comme busaiku, un terme qui désigne généralement un visage ingrat plus qu’un physique peu attrayant.

Le résultat est unanime. Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous, 75,5 pour cent des lectrices ont choisi l’homme fortuné.

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Reste 24,5% des femmes, qui seraient heureuses d’inviter à diner leur beau mec sans le sou !

Alors que l’équipe d’AneCan devait probablement s’attendre à une répartition plus équilibrée, les internautes japonais sont tout sauf surpris :

« C’est ce qu’il y à l’intérieur qui compte. »
« Ce qu’il y a à l’intérieur = argent ! »
« Choisir le riche est une évidence. »
« En fin de compte, l’argent est tout ce qui compte. »
« Ouais, un mec doit avoir de l’argent ! »
« Donc, ce n’est pas l’homme, mais son argent qui a du succès. »
« Je suis un homme, mais je ferais le même choix s’il s’agissait de femmes. »

Il est intéressant de noter que la partie « Ane » du nom du magazine signifie «grande sœur», et que la cible du magazine sont des femmes dont l’âge se situe entre la fin de vingtaine, début de trentaine.

Ce qui les situe à un âge où elles ne sont plus à la charge de leurs parents. Face aux réalités de leur propre ménage, elles ont conscience que l’argent gagné par leur conjoint affecte grandement leur mode de vie.

Le résultat aurait pu être très différent si l’enquête avait été effectuée dans le magazine CanCam, dont le lectorat est plus jeune de quelques années.

Cela n’empêche pas, pour quelques lectrices, d’avoir une solution alternative au problème :

« J’aimerais utiliser le riche comme guichet automatique et batifoler derrière son dos avec le type au chômage. »

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Source : Youpouch / Rocketnews || Images : Anecan / Twitter

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